Cependant, 28% des acteurs de l'immobilier commencent ' douter. 42% pensent que le march' actuel est en augmentation en valeur, mais 24% estiment que cela varie en fonction du quartier. L'augmentation de l'offre correspond ' un march' du logement qui se stabilise apr's une longue p'riode d'impr'visibilit'.
Miami Beach et Brickell sont les quartiers les plus branch's actuellement, mais ils sont tous deux sur'valu's sachant que le risque d'inondation est important, si vous songez ' faire un investissement ' long terme. Downtown reste sous-'valu' et commence a etre en vogue a en juger la tendance des recentes grandes transactions immobili'res. Les unit's urbaines de Miami Beach se sont vendues pour $ 760 / Pieds carr's et $ 446 / Pieds carr's ' Miami en 2014. C'est encore nettement sous-'valu' par rapport aux prix de New York o' des unit's similaires se vendraient pour $ 1719 / Pieds carr's.En ce qui concerne la question que tout le monde se pose :est-ce maintenant le temps d'acheter ou de vendre? 38% r'pondent acheter, 34% r'pondent vendre! C'est d'routant!
Pourquoi acheter? Les crit'res des acheteurs se concentrent sur les bonnes 'coles et l'accessibilite. C'est un facteur nouveau pour une ville comme Miami ou tout se passe grace a la voiture. Le trafic est devenu un tel frein que le potentiel pi'tonnier est maintenant un crit're majeur. Le shopping et les restaurants arrivent ensuite, suivi de pres par la s'curit'.
Qui ach'te? 56% des acheteurs sur le marche residentiel sont etrangers: les Br'siliens sont les acheteurs Number Ones ' Miami, suivis par les Argentins, les V'n'zu'liens et les Colombiens. L'Europe repr'sente alors 11% des acheteurs 'trangers. En effet, les habitants et les Floridiens du Sud peuvent ' peine se permettre les nouvelles constructions en cours de construction qui tombent ' la port'e de seulement 10% d'entre eux en termes de prix. Par cons'quent, une cible 'trang're ou d'autres villes afflue et repond a l'offre. En outre, il semble que l'instabilit' financi're dans d'autres pays ait un impact sur le march' r'sidentiel. Les acheteurs russes par exemple se retirent lentement. Les acheteurs 'trangers continuent ' investir, mais dans des unit's moins cheres. Cela cr'e un foss' qui les investisseurs d'autres villes, ' savoir New-Yorkais, auraient ' remplir.
Dans cette mesure, les habitants ont plus tendance a louer qu'acheter malgre les loyers croissants. Le pourcentage de personnes qui louent par rapport ' l'achat reste assez 'quivalent: 46% ach'tent alors que 54% louent.